25 janvier 2006

La pire des malédictions, c'est l'oubli

Définitivement l'un de mes 4 films de vampires préférés, Near Dark m'a marqué à jamais en cette année bénie de 1987.
On avait eu Fright Night en 1985, parodique et joyeusement fantastique. Génération perdue, délicieusement 80's et anti-american way of life.

Ici nous retrouvons la face caché du vampire, sale et triste, et pire que tout, amnésique...

Pour en savoir plus, un article sur Near Dark, aux frontières de l'aube.