Love story entre vampires et loup-garous

Je profite de la sortie (française) prochaine de Underworld : Evolution, la suite d'Underworld pour vous donner le début de la critique du film sur cinema-des-vampires.

Surfant sur la même veine (arf arf, trop fort Cyroul) que "La reine des damnés" ou "Blade 2", Underworld est un film où l'esthétique prime au premier abord. Mais le scénario étant excellent et l'interprétation très passable, cela en fait un film incontournable.

Je vous préviens, pour une fois ma morsure sera chiante : j'adore ce film. Je le trouve très équilibré et très sympathique.

Suite de l'article Underworld, Love story entre vampires et loup-garous

Un article sur Underworld Evolution dans le blog d'une Québécoise, histoire de savoir à quoi s'attendre.

Monster Squad et les années 80 s'épanouissent

Habillez-vous en jeans troués, t-shirt et baskets blanches. Attrapez un soda pétillant et trop sucré, et un sandwich au beurre de cacahouète (j'ai jamais goûté le beurre de cacahouète, mais dans les films américains ils en mangent tout le temps). Grimpez dans votre cabane dans les arbres, asseyez vous sur votre coussin préféré et dégustez ce joyau des années 80...

> Monster Squad

La pire des malédictions, c'est l'oubli

Définitivement l'un de mes 4 films de vampires préférés, Near Dark m'a marqué à jamais en cette année bénie de 1987.
On avait eu Fright Night en 1985, parodique et joyeusement fantastique. Génération perdue, délicieusement 80's et anti-american way of life.

Ici nous retrouvons la face caché du vampire, sale et triste, et pire que tout, amnésique...

Pour en savoir plus, un article sur Near Dark, aux frontières de l'aube.

Drawing blood un film mal peint !

Quand on lit le nom de Lloyd Kaufman au générique d'un film, on peut toujours s'attendre au meilleur et/ou au pire. Car le patron de la société Troma ne va jamais là où on l'attend. Curieusement, ce film n'est ni l'un ni l'autre.

Partant d'une idée très originale (le vampirisme dans la peinture), l'idée tombe très vite à plat, voir même dans des oubliettes d'humour naze et pas drôle (et pourtant j'ai bien rigolé à la vision du Toxic Avenger).

Pour en savoir plus sur Drawing Blood

The Breed, on loupe le très bon

M'installant dans mon cercueil préféré pour regarder ce film, je me disait que j'allais perdre mon temps. Qu'il allait encore s'agir d'un film nul sans originalité. Que je ferais mieux de lire un bon bouquin...

Seulement dés les premières minutes de projection, mes yeux se rivèrent sur l'écran sans pouvoir les décoller. Car ce film est excellent et ne frôle le chef d'oeuvre que par un opportunisme trop mal placé.

En effet, pourquoi essayer de faire un film d'action quand on a déjà un très bon film d'ambiance ?
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La suite de l'article sur The Breed sur cinema-des-vampires.net